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JPF 75 - Les jeunes avec Villiers
22 octobre 2006

L'islam est le terreau de l'islamisme et l'islamisme est le terreau du terrorisme

Devilliers_3 La seule différence entre violents et modérés est dans les moyens mis en oeuvre : jouer sur le conflit ouvert ou sur la subversion lente par progression démographique et exploitation des moyens que donne la démocratie. La différence est évidemment sensible sur le plan pratique, mais sur le plan de la pensée c’est la même chose ; le but est le même : la soumission du monde à une législation considérée comme donnée par Dieu.

Dominique Urvoy (professeur d'islamologie à l'université de Toulouse, auteur de "Histoire de la pensée arabe et islamique")

Philippe De Villiers serait-il le plus courageux* responsable politique de France ?

En tout cas, c’est le seul, que je sache, qui ait osé dire en plein journal de TFI et sans se rétracter le lendemain, la vérité sur l’islam, à savoir : "L'islam est le terreau de l'islamisme et l'islamisme est le terreau du terrorisme."

Et qui, au moment où (après la fermeture ces derniers mois de 7 salles de prière) 43 bagagistes de Roissy et d'Orly viennent de se voir retirer leur accès aux pistes (voir ci-dessous) et alors que les journalistes ayant mis en cause France 2 pour le faux de leur journaliste Charles Enderlin sur l'Affaire Al Doura ont été condamnés par la justice (?), que Charlie Hebdo attend son procès pour délit de blasphème et surtout que Robert Redeker est toujours contraint de se cacher, continue à en payer le prix : protection policière, procès du Mrap lui aussi pour délit de blasphème (qu’il vient de gagner par jet de l’éponge mais sur vice de procédure) …

* Villiers est aussi, signe des temps, le seul (hormis Jospin qui est lui hors course), à oser se prononcer ouvertement contre le "mariage homosexuel" (?) ou d'autres aberrations à la mode comme le "vote des étrangers" (?) ...

Villiers  satisfait d' "avoir fait plier le Mrap"
Sophie Huet et Guillaume Perrault
Le Figaro
le 21 octobre 2006

Philippe de Villiers, à côté de son avocat Alexandre Varaut, a répété hier à Bobigny qu'il « ne retire pas une virgule à ses propos ».
(M. Archambault / Le Figaro).

Élection présidentielle 2007
L'élu vendéen crie victoire après le retrait de la plainte déposée contre lui par l'association pour « incitation à la haine raciale et religieuse ».

« QUAND la république s'affirme, l'islamisme recule. » Philippe de Villiers veut donner valeur de symbole au retrait de la plainte pour « incitation à la haine raciale et religieuse » que le Mrap, le Conseil islamique Rhône-Alpes-Mosquée-de-Lyon et la Ligue islamique mondiale avaient déposée contre lui après ses déclarations le 16 juillet 2005 sur TF1, à propos des attentats de Londres : 

Alors que le procès devait s'ouvrir hier après-midi au tribunal de grande instance de Bobigny (Seine-Saint-Denis), le Mrap, le Conseil islamique Rhône-Alpes-Mosquée-de-Lyon et la Ligue isla mique mondiale, se sont désistés in extremis, mettant un terme aux poursuites. L'avocat du Mrap, Me Gérard Taïeb, assure que cette décision a été prise « à regret » après avoir découvert une erreur de procédure qui ne laissait aucun doute sur la relaxe du président du Mouvement pour la France.

Phlippe de Villiers, pour sa part, affirme qu'en réalité, le Mrap, le Conseil islamique Rhône-Alpes-Mosquée-de-Lyon et la Ligue islamique mondiale « espéraient m'intimider en portant plainte. Puis, constatant leur échec, ils ont eu peur de la confrontation ». Avec quelque ironie, le président du conseil général de Vendée « invite tous les hommes politiques à méditer cette leçon ». Le député européen, qui a une protection policière en raison des menaces qu'il a reçues, « ne retire pas une virgule à ses propos ». Et se présente comme « l'ultime défenseur de la Répu blique face à l'islamisme et aux communautarismes » et « le rempart de la liberté d'expression ».

Réagir à tous les événements

Malgré des sondages encore peu encourageants (entre 3 et 4 % des intentions de vote), le président du MPF se dit convaincu de recueillir des voix de Jean-Marie Le Pen et d'attirer à lui les déçus du sarkozysme. Philippe de Villiers a emménagé dans un vaste siège de campagne du quartier Montparnasse à Paris. Avec deux sites sur Internet (pourlafrance.fr et un blog officiel, P2V.fr), son équipe entend réagir à tous les événements. Reste l'obstacle des 500 signatures de maires requises pour se présenter. « Nous en avons assez pour être sereins, pas assez pour être tout à fait tranquilles », ajoute le président du MPF.

Loin des micros et des caméras de la presse nationale, l'élu vendéen a entamé un tour de France des départements pour « écouter les Français dans leurs soucis quotidiens et leurs souffrances » : arboriculteurs, chasseurs, buralistes, salariés délocalisés, infirmiers, artisans, maires ruraux...

À chaque déplacement, le député européen souligne ses « trois désaccords fondamentaux » avec Nicolas Sarkozy : « sur l'Europe (il a prôné le non au projet de traité européen alors que le président de l'UMP a fait campagne pour le oui), sur l'immigration (Villiers réclame l'immigration « zéro », Sarkozy l'immigration « choisie ») et sur le mariage homosexuel » dont il est un farouche adversaire alors que le président de l'UMP s'est prononcé pour un « contrat d'union civique » conclu à la mairie.

Depuis la rentrée, on relève cependant une inflexion dans le discours de Philippe de Villiers à l'égard du ministre de l'Intérieur. Habitué jusqu'alors à attaquer de front l'hôte de la Place Beauvau, l'élu vendéen privilégie désormais « le débat projet contre projet ». De son côté, l'UMP n'a pas désigné à ce jour de candidat dans les deux circonscriptions de Vendée détenues par des députés MPF. Faut-il y voir l'indice d'un accord - ou au moins d'un modus vivendi entre les deux candidats à l'Élysée ?

Le secrétaire général du MPF, Guillaume Peltier, le dément avec énergie et lance : « Sarkozy n'a pas de candidat crédible à présenter contre nous en Vendée, c'est aussi simple que ça. »

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L'élu vendéen crie victoire après le retrait de la plainte déposée contre lui par l'association pour « incitation à la haine raciale et religieuse ».

« QUAND la république s'affirme, l'islamisme recule. » Philippe de Villiers veut donner valeur de symbole au retrait de la plainte pour « incitation à la haine raciale et religieuse » que le Mrap, le Conseil islamique Rhône-Alpes-Mosquée-de-Lyon et la Ligue islamique mondiale avaient déposée contre lui après ses déclarations le 16 juillet 2005 sur TF1, à propos des attentats de Londres : « L'islam est le terreau de l'islamisme et l'islamisme est le terreau du terrorisme. »

Alors que le procès devait s'ouvrir hier après-midi au tribunal de grande instance de Bobigny (Seine-Saint-Denis), le Mrap, le Conseil islamique Rhône-Alpes-Mosquée-de-Lyon et la Ligue isla mique mondiale, se sont désistés in extremis, mettant un terme aux poursuites. L'avocat du Mrap, Me Gérard Taïeb, assure que cette décision a été prise « à regret » après avoir découvert une erreur de procédure qui ne laissait aucun doute sur la relaxe du président du Mouvement pour la France.

Phlippe de Villiers, pour sa part, affirme qu'en réalité, le Mrap, le Conseil islamique Rhône-Alpes-Mosquée-de-Lyon et la Ligue islamique mondiale « espéraient m'intimider en portant plainte. Puis, constatant leur échec, ils ont eu peur de la confrontation ». Avec quelque ironie, le président du conseil général de Vendée « invite tous les hommes politiques à méditer cette leçon ». Le député européen, qui a une protection policière en raison des menaces qu'il a reçues, « ne retire pas une virgule à ses propos ». Et se présente comme « l'ultime défenseur de la République face à l'islamisme et aux communautarismes » et « le rempart de la liberté d'expression ».

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Malgré des sondages encore peu encourageants (entre 3 et 4 % des intentions de vote), le président du MPF se dit convaincu de recueillir des voix de Jean-Marie Le Pen et d'attirer à lui les déçus du sarkozysme. Philippe de Villiers a emménagé dans un vaste siège de campagne du quartier Montparnasse à Paris. Avec deux sites sur Internet (pourlafrance.fr et un blog officiel, P2V.fr), son équipe entend réagir à tous les événements. Reste l'obstacle des 500 signatures de maires requises pour se présenter. « Nous en avons assez pour être sereins, pas assez pour être tout à fait tranquilles », ajoute le président du MPF.

Loin des micros et des caméras de la presse nationale, l'élu vendéen a entamé un tour de France des départements pour « écouter les Français dans leurs soucis quotidiens et leurs souffrances » : arboriculteurs, chasseurs, buralistes, salariés délocalisés, infirmiers, _artisans, maires ruraux...

À chaque déplacement, le député européen souligne ses « trois désaccords fondamentaux » avec Nicolas Sarkozy : « sur l'Europe (il a prôné le non au projet de traité européen alors que le président de l'UMP a fait campagne pour le oui), sur l'immigration (Villiers réclame l'immigration « zéro », Sarkozy l'immigration « choisie ») et sur le mariage homosexuel » dont il est un farouche adversaire alors que le président de l'UMP s'est prononcé pour un « contrat d'union civique » conclu à la mairie.

Depuis la rentrée, on relève _cependant une inflexion dans le discours de Philippe de Villiers à l'égard du ministre de l'Intérieur. Habitué jusqu'alors à attaquer de front l'hôte de la Place Beauvau, l'élu vendéen privilégie désormais « le débat projet contre projet ». De son côté, l'UMP n'a pas désigné à ce jour de candidat dans les deux circonscriptions de Vendée détenues par des députés MPF. Faut-il y voir l'indice d'un accord - ou au moins d'un modus vivendi entre les deux candidats à l'Élysée ?

Le secrétaire général du MPF, Guillaume Peltier, le dément avec énergie et lance : « Sarkozy n'a pas de candidat crédible à présenter contre nous en Vendée, c'est aussi simple que ça. »

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